Amal Laala
http://www.theage.com.au/articles/2004/06/30/1088488020263.html
"After eating coloured food, Laala drinks two litres of milk mixed with food dye. "You really do need to prepare yourself if you're going to vomit," she says. "I make sure I have a big breakfast and lunch. (But) it really is just the milk and the juice, you can mix milk and juice and it curdles in your stomach and makes me feel sick."
In the 1970s, Australian artist Mike Parr ingested food dye and then brought it up again for a performance piece.
Prosthetic limbs and dolls' parts strewn with vomit and mould.
Note :
Last year 300 people staged a "vomit-in" on the steps of a federal government building in San Francisco to protest at America's involvement in Iraq."
Note :
Last year 300 people staged a "vomit-in" on the steps of a federal government building in San Francisco to protest at America's involvement in Iraq."
voir aussi :
Belgian artist Wim Delvoye devised a machine to replicate the human digestive system - including the ability to bring up half-digested matter - called the Cloaca.
Piero Manzoni, Merda d'artista, 1961
http://fr.wikipedia.org/wiki/Merda_d'Artista
"En mai 1961, suite à une dispute avec son père, propriétaire d'une usine de conserves, qui le traitait d'« artiste de merde », Piero Manzoni déféqua dans 90 petites boîtes de conserves — plus précisément, il déposa trente grammes d’excrément par boîte, pour vendre par la suite ces boîtes au prix de trente grammes d’or selon la valeur du cours de l’or — boîtes sur lesquelles fut inscrit « merde d’artiste » en différentes langues."
William Burroughs, Le festin nu, 1959
« Peu à peu le cul a changé, il lui est poussé des espèces de petites dents, comme des hameçons mal limés, et il a réclamé à manger. Les premiers jours, le type trouvait ça drôle et il a monté un numéro gastronomique... Mais le trou du cul prenait ça au sérieux, il se grignotait une ouverture dans le fond de la culotte du type pour faire des discours dans la rue, il haranguait la foule et réclamait à tue-fesses l'égalité des droits... Bientôt il s'est mis à boire et il piquait des crises de larmes sous prétexte que personne ne l'aimait, il sanglotait qu'il avait envie d'être embrassé comme n'importe quelle bouche. [...] Un beau matin le trou du cul lui a dit: « C'est toit qui finira par la boucler. Pas moi. Parce qu'on n'a plus besoin de toi ici, de nous deux n'y a que moi que moi qui puisse parler et manger et chier! »
(p. 147)
et oui ...
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